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Claire, 56 ans, et le soir où elle n’avait plus personne lesquels mettre au défi Claire vivait dans un petit hameau du sud-ouest, lequel presque 2h30 de la première ville. Elle aimait la sérénité, les arbres, les ciels immenses. Mais assez souvent, ce silence devenait à l'infini très large. Depuis le départ de son fils pour l’étranger et la barrière d’avec son chien ou chat deux ans plus tôt, ses soirées étaient longues. Trop longues. Et les nuits… encore pires. Elle n’en parlait pas. Pas réellement. Elle se contentait de soutenir “ça va, je m’occupe” ou “je suis habituée”. Mais en vérité, elle tournait en rond. Et n'importe quel nuit, elle se couchait avec une chou au ventre. Ce n’était pas une histoire ancienne tragique. C’était une usure. Une solitude devenue à l'infini pesante pour s'enfermer muette. Un soir d’hiver, elle sentit que ça débordait. Elle n’arrivait pas que décoder. Ni que dormir. Elle avait cet état étrange de flotter au-dessus d’elle-même. Elle aurait exigé assembler lesquelles quelqu’un. Mais il était 22h42. Elle n’allait pas déchaîner son fils auquel l’étranger. Ni soutenir ses amies. Alors, presque par réflexe, elle saisit son téléphone. Elle tapa : voyance 24h/24 serieuse écoute. Elle ne savait pas incontestablement la motivation ce mot lui venait. Elle avait très aperçu la voyance à savoir des attributs d’un peu… lointain. Mais là, ce qu’elle cherchait, c’était un référencement tout de suite. Sans filtre. Sans effort. Elle tomba sur un formulaire sobre, qui proposait un accès direct, éternellement, sans inscription ni arcane bancaire. Juste un numéro. Elle hésita. Puis elle se exprimé : “Je n’ai rien à consumer. ” Et elle appela. La voix au téléphone était alternative, ni à l'infini froide, voyance audiotel avec phil voyance ni trop amicale. Claire expliqua. Pas tout, juste l’essentiel. Elle formulé : “Je suis seule, et dans de nombreux cas j’ai l’impression de ne plus exister pour individu. J’aimerais apprendre si ça va abandonner. Ou si c’est moi qui me suis enfermée. ” Ce qu’elle entendit plus tard ne ressemblait pas lequel un discours réconfortant. C’était plus important. Plus tout de suite. La individu lui formulé : “Vous n’êtes pas seule. Vous êtes en désalignement. Votre solitude vous chemise ce que on a cessé de entretenir en vous : la passerelle à notre propre date. Il est vivement indiqué de lire réapprendre propre écouter, non pour contenter, mais pour vous reconnecter. ” Claire sentit une angoisse la découvrir. Ce n’était pas du mal. C’était de la projection. On ne lui disait pas : “Vous avez acidité. ” On lui disait : “Vous vous trouvez vivante. Mais vous ne vous entendez plus. ” L’échange se poursuivit une vingtaine de minutes. Elle parla de ses insomnies, de cette routine qui l’use, de cette sensation d’être claire. On lui répondit avec une minutie désarmante. On lui dit que ce instant de paume était une sollicitation lesquelles se redéployer en empruntant une autre voie. Pas par l’extérieur. Mais par l’intérieur. Elle entendit en plus : “Vous rencontrez porté la lumière sur mes copines depuis de nombreuses années. Il est temps de la répercuter vers vous. ” Elle raccrocha dans le calme. Mais ce vacarme était différent. Il était habité. Depuis ce soir-là, Claire persiste à connaitre seule. Mais elle n’est plus dans l’abandon. Elle a recommencé lesquelles inventer. À structurer laquelle voix bonne le matin. À marcher sans propos. Et elle garde ce numéro dans son carnet. Parce qu’elle sait que, même auquel 23h27, même au centre de nulle part, elle peut se trouver entendue. La voyance 24h/24, pour elle, ce n’est pas une barrière d’urgence. C’est un pont de limpidité. Un périmètre discret, imminent, sans verdict. Où l'obscurité, pendant la durée où tout semble se refermer, un son pourrait encore ouvrir des éléments.